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mercredi, novembre 29, 2006

Bizare..


On parle de justice dans une société quand la vie en elle même est injuste. On parle d’amour, d’amitié quand chacun de nous aime un être qui n’est pas forcement aimer de tous. On parle de paix quand on est en pleine guerre. On parle de sagesse sachant qu’on n’atteindra jamais l’état de du sage On parle d’autrui en pensant a nous On parle de vie simplement par la crainte de la mort. On parle de création sans se soucier des destructions comme objet de conséquence. On parle au autre pour ne pas nous faire oublier. On parle sans souvent comprendre la suite de nos paroles. On parle pour briser la voix du silence.La pire des choses c'est de parler pour nous faire croire des foutaises...

Le Toi Du Moi


J’aimerais que tu me comprennes .Oui ! Finalement tu es comme moi, tu es une âme vivante, un organisme comparable au mien. Tu es un tout qui es similaire aux petits ‘moi’ que nous somme tous ensemble. Je regarde par la fenêtre des vies se promener. Mais qui est cette foule d’existence ? Qui sont ses survivant qui se ressemble tellement mais qui se distinguent pour autant ? Et je me demande encore une fois, pourquoi j’aimerai comprendre le fruit de l’inconnu. Souvent on dit ‘’je te comprends’’ ou ‘’j’ai vécu la même expérience’’ mais est-ce que c’est vrai ? Habiter une aventure qui n’est guère la notre ou essayer de vivre un moment qui ne nous appartient est une chose assez délicate puisqu’elle ne peut pas être parfaitement réalisable. En effet, nous ne pouvons point prétendre connaître une personne tel quel est, mais tel quelle nous montre quelle est. Qui affirme que la personne en face de moi est elle-même, sincère et pure. C’est la où je considère que nous sommes tous les marionnettes de l’illusion

Le Voile


Sujet : Femme mystérieuse

Il pleut dans son âme Oh !
Que j’ai pitié de cette femme
Je dévisage cette tristesse
Par son regard qui appel détresse
Destiner dans une existence
Qui pour elle n’aura jamais d’essence.

Sa figure dérober par sa chevelure,
Nous dévoile une fausse parure
Elle joue à jouir, à sourire
Pour gommer sa peine
qui ne fait que l’envahir
Par la méprise de la froideur d’autrui
Il ne fait que neiger dans sa vie.

Vêtue d’une seule et forte arme,
Naturellement savoir cacher ses larmes
Posséder ce moyen de mystifier ce qu’elle est,
Pour se protéger des légendaires préjugés
De sorte a éviter les questions indiscrètes
Elle masque les folies de ses nuits secrètes

Que désir est-elle ??
Goûter a tous les piment des interdis
Savourer une aventure ou rien n’est permis
Pour combler les manques universelles
Assoiffer par l’envie d’être différente
Hurler sur les toits tous les sujet inviolables
Déchirer les déguisements de cette entente
Qui piège l’homme par des sorts incontrôlables

Cette fille sait qu’elle finira par se livrer
Que son masque s‘écoulera une de ces belle matinée
Elle se battra pour récupérer tous ses appétits
Qui avec les saisons on admirablement grandit.